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Notre plan contre la douleur

Nous nous engageons à prendre en charge votre douleur…

PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR

Soulager la douleur des patients est une des premières préoccupations de la Clinique Saint-Faron. La prise en charge de la douleur débute avant l’intervention par une information du patient.

 

Une organisation impliquant tous les professionnels qui interviennent autour du patient est mise en place

L’organisation

La mise en place de l’analgésie débute dès l’intervention par l’injection d’agents antalgiques en pré-opératoire qui seront efficaces dès le réveil du patient.

Elle se poursuit en S.S.P.I (salle de réveil) et dans les unités d’hospitalisation selon des protocoles précis associant l’administration d’antalgiques à une évaluation régulière de la douleur et la surveillance des effets secondaires éventuels. Ces protocoles visent aussi bien à calmer la douleur du patient qu’à la prévenir lors des soins douloureux

Les professionnels

Les équipes médicales et soignantes sont sensibilisées et formées à la prise en charge de la douleur.

Un Comité de Lutte contre la Douleur (CLUD) est constitué au sein de l’établissement, favorisant le dialogue entre les professionnels. Il a pour mission de promouvoir et d’organiser les actions dans ce domaine.

L’efficacité des actions mises en oeuvre est évaluée par le biais d’enquêtes de satisfaction et l’application des protocoles est vérifiée par la réalisation d’audits de pratiques.

Une autre technique pour soulager la douleur peut être également proposée : le toucher thérapeutique.

Une organisation impliquant tous les professionnels qui interviennent autour du patient est mise en place

Avez-vous mal ?

Pour nous aider à adapter votre traitement, vous devez nous dire « combien » vous avez mal.


Votre infirmière vous proposera régulièrement de « chiffrer » votre douleur de 0 à 10 en vous aidant d’une réglette dont elle vous expliquera l’utilisation. L’équipe soignante pourra alors adapter les doses de calmants en fonction de l’évolution de la douleur.

Avez-vous mal ?

Notre engagement est le suivant :

  • une information médicale délivrée par le chirurgien et l’anesthésiste,
  • la mise en place de protocoles,
  • la formation continue de tous les professionnels,
  • l’analyse de votre satisfaction.

Pour prendre en charge votre douleur, nous avons besoin de vous !
Nous avons besoin que vous nous alertiez suffisamment tôt. N’attendez pas que votre douleur s’installe. Nos protocoles permettent de soulager efficacement et rapidement une douleur naissante… Le combat contre une douleur installée est toujours plus difficile.

Nous voulons traiter ou soulager :

  • les douleurs aiguës (coliques néphrétiques, fractures, suites d’intervention),
  • les douleurs chroniques (mal de dos, cancers…).

Nous voulons prévenir :

  • les douleurs provoquées par certains soins ou examens (pansement, pose de sonde, retrait de drain, certains actes de kinésithérapie…),
  • les douleurs parfois liées à un geste quotidien (une toilette, un simple déplacement…).

Deux « référents douleur » (un médecin et une infirmière) assurent le suivi des protocoles anti-douleur et la formation continue des personnels.

 

Une réponse adaptée à chaque cas

Les antalgiques (médicaments qui soulagent la douleur) vous seront proposés en fonction de la nature et de l’intensité de votre douleur.

Pour certains types de prise en charge de la douleur, la clinique s’est dotée de pompes électriques pour morphiniques ou anesthésiques locaux qui vous permettront de contrôler vous-même votre analgésie.
Ces appareils sont programmés pour délivrer à flux continu ou à la demande une certaine quantité d’analgésique par voie intra-veineuse, péridurale ou péri-nerveuse.
Une simple pression sur un bouton-poussoir permet de disposer d’une ou plusieurs doses complémentaires, en fonction des besoins… Evidemment, par mesure de sécurité, le nombre et le volume des doses supplémentaires sont limités par l’équipe médicale.

Ne pas craindre la morphine

Certaines personnes craignent de devenir « dépendantes » à la morphine après un traitement antidouleur. A tort ! Le temps d’utilisation de la morphine en clinique pour vaincre la douleur n’est pas suffisant pour provoquer une dépendance.